Planète Verte
La planète est notre maison. Si on veut la conserver faisons des actions pour elle. PROTEGEONS-LÀ !
dimanche 31 mars 2013
jeudi 10 novembre 2011
La pollution de l´eau
On a besoin de l´eau. Alors, pourquoi nous là gaspillons sans raisons?
jeudi 3 novembre 2011
À Pedernales
À Pedernales j´ai apprit que le monde contamine énormément et nous on est les responsables de tout ce problème.
On n´est aller à un ruisseau pour s´avoir si l´eau était contaminé ou pas. Les insectes nous indiquez si l´eau était contaminé, on avait trouvez beaucoup d´insectes dans le ruisseau, tous les insectes étaient d´eau non contaminé. Mais il y avait quelques déchets dans la rivière qui contaminer. Quand nous sommes arrivez en classe, on disaient tous se qu´on a vu. La professeure nous aidez à nous faire rappeler tous ce qu´on avait vu sur un tableau. Aussi, nous sommes allez à une plage. « La profe »nous montrez que ce qui il y avait dans le sol, que ce qui passait par la rivière, si il est contaminer... L´eau est un peut contaminée. On arrivez en classe et on faisaient la même chose, on disaient tous se con à vu.

JE L´AI FAIT MOI
mercredi 2 novembre 2011
L´eau un bien indispensable

Un certain nombre de pays ont décidé de s’investir afin de diffuser auprès de leur population des informations sur les problèmes à venir liés à la consommation d’eau et à la croissance de la population mondiale. Tous les continents se sont mobilisés. En Afrique noire, le Gabon, la Gambie, le Mali ; dans les États arabes, l’Algérie, Oman, le Qatar ; en Amérique latine, l’Argentine, la Bolivie, le Pérou ; en Asie-Pacifique : l’Australie, le Cambodge, la Chine, l’Iran, Singapour, l’Ouzbékistan, le Vietnam ; en Amérique du Nord - Europe : le Canada, la Croatie, le Danemark, l’Allemagne, l’Italie, Malte, la Moldavie, les Pays Bas, l’Espagne, la Turquie, le Royaume Uni.
Ce n’est pas un oubli de ma part, la France ne fait pas partie de cette liste. En outre, le nombre de pays en difficultés hydriques participant à cette opération n’est pas très important.(1)
L’agriculture est la plus grande consommatrice du précieux liquide et le choix d’une agriculture non vivrière, mais dégageant une forte valeur ajoutée, affame bien des peuples.
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L’eau est un bien indispensable à la vie sur terre, mais c’est aussi un vecteur de maladies mortelles très important. Elle tue 5 millions de personnes tous les ans (soit 10 fois le nombre de personnes tuées dans les guerres).
60% de la mortalité infantile dans le monde sont liés à des maladies infectieuses ou parasitaires transportées par l’eau.(1)
(1)Bibliografie:
Site: Un bien durable?
Date de consultation: 25/10/2011
(2)Bibliographie :
Site: La tête aux carhaix
Date de consultation: 16/11/2011
Disponible:http://latete-o-carhaix.over-blog.fr
Date de consultation: 16/11/2011
Disponible:http://latete-o-carhaix.over-blog.fr
Le recyclage des dechets
Au cours des années passées, le volume des déchets produits par chaque habitant en France et en Europe n'a cessé d'augmenter. Cela représentait un réel problème et une menace pour l'environnement, car la seule solution dont nous disposions, il y a seulement une vingtaine d'années, était de détruire ces déchets en les brûlant, ou de s'en débarrasser en les enterrant.
Un changement de mentalité était nécessaire pour aborder cette question : au lieu d'éliminer systématiquement la totalité des déchets, on a choisi d'en valoriser une bonne partie, c'est à dire de les transformer pour les réutiliser.
Le recyclage des déchets présente un double avantage
Il permet d'abord d'économiser de la matière première et donc de préserver les ressources naturelles de notre planète. Il permet également de réduire le volume et le poids de nos poubelles et donc de limiter les risques de pollution de l'air et des sols.
Une loi a donc vu le jour sur le plan national le 13 juillet 1992 pour inciter et encadrer le tri des déchets recyclables et susciter un changement de comportement de la part de tous les citoyens.
Cette politique s'étend sur 10 ans et stipule qu'aucun déchet récupérable ne devra être stocké ou détruit après 2012. Les seuls déchets admis dans les centres d'enfouissement seront les déchets qui ne peuvent être valorisés et que nous appelons les "déchets ultimes".(1)
Il permet d'abord d'économiser de la matière première et donc de préserver les ressources naturelles de notre planète. Il permet également de réduire le volume et le poids de nos poubelles et donc de limiter les risques de pollution de l'air et des sols.
Une loi a donc vu le jour sur le plan national le 13 juillet 1992 pour inciter et encadrer le tri des déchets recyclables et susciter un changement de comportement de la part de tous les citoyens.
Cette politique s'étend sur 10 ans et stipule qu'aucun déchet récupérable ne devra être stocké ou détruit après 2012. Les seuls déchets admis dans les centres d'enfouissement seront les déchets qui ne peuvent être valorisés et que nous appelons les "déchets ultimes".(1)
Le recyclage est excellent d’un point de vue écologiques. Cela contribue à la réduction du volume de déchets et par conséquent de la pollution que ces matériaux engendreraient. Certains de ces matériaux prennent des siècles voir plus pour se dégrader. Autre conséquence, la protection de nos réserves de ressources naturelles. Les matières recyclées utilisées prennent la place des matières extraitent de nos réserves.
Cette activité de recyclage est pan très important de notre système économiques, tout en apportant un bien être à notre planète Terre.
Participez à cet acte civique et citoyen qu’est le recyclage. C’est impératif pour la survie de nos sociétés et de nos futures générations que sont nos enfants(2)
Bibliographie :(1)
Site : ici et dans le monde
Date de consultation : 25/10/2011
Disponible sur: http://www.somergie.fr/html/icidsmonde/recyclagedechets.htm
Bibliographie:(2)
Site: Reyclage des dechets
Date de consultation: 16/11/2011
Disponible sur:http://www.recyclage-des-dechets.com/
Bibliographie:(2)
Site: Reyclage des dechets
Date de consultation: 16/11/2011
Disponible sur:http://www.recyclage-des-dechets.com/
vendredi 30 septembre 2011
L’agriculture en question
Dans la mesure ou nous obtenons les aliments de la terre, l’agriculture et l’élevage sont la base de notre culture, notre civilisation.
Tout au long du 20eme siècle, les agriculteurs/agricultrices des pays industrialisés se sont lancés dans la course folle de la productivité, en ayant recours, chaque fois un peu plus à l’usage de machines agricoles et de carburant, d’engrais chimiques, de pesticides…C’est la « Révolution verte ».
Ces systèmes intensifs de production ont contribué à améliorer notre niveau de vie, cependant le revers de la médaille est peu brillant : sols dégradés, eaux contaminées, perte de la biodiversité, aliments avec des résidus dangereux pour notre santé.
La globalisation impose ces modèles de production intensive à l’ensemble de la planète, et de nombreux agriculteurs sont dépossédés de leur terre et se voient obligés à émigrer vers la « terre promise ». Cette situation provoque la perte de la vie rurale et sa culture, la pauvreté et la faim dans le monde.
Agriculture et faim monde
Dans les 50 dernières années, la technologie moderne est parvenue à tripler la production céréalière mondiale et malgré cela plus d’1 milliard de personnes souffrent de la faim, 30 millions en meurent chaque année.
L’explosion démographique a surpeuplé la planète avec 6 milliards de personnes et une augmentation annuelle de 95 millions, alors que la surface cultivable est en train de se réduire avec la progression du désert.
Obtenir que la population mondiale se stabilise et qu’elle se nourrisse convenablement est sans aucun doute le grand défi de notre planète.
L'agriculture intensive est aujourd'hui fortement remise en question et ce n'est pas sans raison. Dégradation du paysage et du sol, procédés contestables de culture et d'élevage, mondialisation et appauvrissement de pays déjà en difficulté, mais aussi risques alimentaires réels.
Derrière cette agriculture intensive se cachent des enjeux économiques énormes, et le marché mondial est contrôlé par les grandes industries de l'agrochimie, propriétaires des herbicides, des pesticides et des semences.
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